
Le levain
. Ledit projet est le fruit d'un travail de quatre ans de recherche dans la cadre d'un doctorat d'Etat obtenu en 1999 et qui a été retenu par un comité de sélection pour bénéficier de l'accompagnement requis dans le cadre de la coopération entre l'Université Mohammed-I (UMP)et la commission universitaire de développement (CUD-belge) à travers le centre universitaire de développement de la région de l'Oriental (CUDRO), créé dans ce même cadre de coopération initié en 2004.
Ce projet a été présenté, jeudi à Oujda, avec échantillons d'olives traitées selon le nouveau procédé, pour dégustation, devant des chercheurs belges et marocains qui participaient à un colloque sur le partenariat UMP-CUD pour le développement de l'Oriental. Le procédé tire son originalité du fait qu'il assure un traitement maîtriséá des olives de table sans recourir à un produit chimique, mais sur la base d'un levain , une bactérie lactique,isolée par le chercheur et dont le brevet a été déposé auprès de l'OMPIC (Office marocain de propriété intellectuelle).
Il se distingue ainsi par le respect des normes de qualité par rapport à l'environnement, au consommateur et aussi à l'industriel qui bénéficiera de la réduction des pertes en quantité d'olives, traditionnellement enregistrées de par le traitement classique du produit. Dans un entretien à la MAP, Asehraou a indiqué que son entreprise compte démarrer avec la transformation de 100 tonnes d'olives par an, quantité qu'il estime modeste, lui qui a déjà eu l'expérience de gestion, en 1993 à Marrakech, au sein d'une société de traitement et exportation de 10.000 tonnes d'olives de table par an, puis au sein de sa propre entreprise montée à Casablanca avec un groupe de collègues mais qui ne traitait alors que 8 tonnes d'olives pas an, avant de rejoindre l'université Mohammed-I d'Oujda en 1995, pour préparation de son doctorat d'Etat, décroché quatre ans plus tard sur l'olive de table, avec en prime un brevet d'invention.
Asehraou, qui a également effectué des stages en Belgique et au sein de la conserverie Trifa d'Oujda, assure travailler actuellement sur la finalisation des ½dossiersá nécessaires au démarrage de son entreprise (cahier des charges, descriptif du procédé, homologation, plan d'affaires,volets juridique et financier), alors que certains de ses étudiants reçoivent actuellement une formation comme futurs employés ou actionnaires dans cette entreprise. Il estime que celle-ci exigera une enveloppe de démarrage de quelque 100 millions de centimes, dont la moitié pour l'équipement et l'autre moitié pour l'achat des 100 tonnes d'olives pour la première année d'exploitation. Il n'exclut pas la prise de participation d'autres associés intéressés .
Ce projet a été présenté, jeudi à Oujda, avec échantillons d'olives traitées selon le nouveau procédé, pour dégustation, devant des chercheurs belges et marocains qui participaient à un colloque sur le partenariat UMP-CUD pour le développement de l'Oriental. Le procédé tire son originalité du fait qu'il assure un traitement maîtriséá des olives de table sans recourir à un produit chimique, mais sur la base d'un levain , une bactérie lactique,isolée par le chercheur et dont le brevet a été déposé auprès de l'OMPIC (Office marocain de propriété intellectuelle).
Il se distingue ainsi par le respect des normes de qualité par rapport à l'environnement, au consommateur et aussi à l'industriel qui bénéficiera de la réduction des pertes en quantité d'olives, traditionnellement enregistrées de par le traitement classique du produit. Dans un entretien à la MAP, Asehraou a indiqué que son entreprise compte démarrer avec la transformation de 100 tonnes d'olives par an, quantité qu'il estime modeste, lui qui a déjà eu l'expérience de gestion, en 1993 à Marrakech, au sein d'une société de traitement et exportation de 10.000 tonnes d'olives de table par an, puis au sein de sa propre entreprise montée à Casablanca avec un groupe de collègues mais qui ne traitait alors que 8 tonnes d'olives pas an, avant de rejoindre l'université Mohammed-I d'Oujda en 1995, pour préparation de son doctorat d'Etat, décroché quatre ans plus tard sur l'olive de table, avec en prime un brevet d'invention.
Asehraou, qui a également effectué des stages en Belgique et au sein de la conserverie Trifa d'Oujda, assure travailler actuellement sur la finalisation des ½dossiersá nécessaires au démarrage de son entreprise (cahier des charges, descriptif du procédé, homologation, plan d'affaires,volets juridique et financier), alors que certains de ses étudiants reçoivent actuellement une formation comme futurs employés ou actionnaires dans cette entreprise. Il estime que celle-ci exigera une enveloppe de démarrage de quelque 100 millions de centimes, dont la moitié pour l'équipement et l'autre moitié pour l'achat des 100 tonnes d'olives pour la première année d'exploitation. Il n'exclut pas la prise de participation d'autres associés intéressés .