
Vue du désert saharien au sud de l'Algérie
Cette conférence a été inaugurée par le ministre tunisien de l'Environnement et du Développement durable, Nadhir Hamada, en présence notamment de la célèbre actrice Claudia Cardinale, en sa qualité d'ambassadrice de bonne volonté de l'Unesco.
La conférence, organisée par cette agence des Nations Unies, "est la principale manifestation" de l'Année internationale des déserts et de la désertification de l'Onu, a déclaré M. Walter Erdelen, sous-directeur général de l'Unesco pour les sciences.
"Les zones arides ont été au coeur des efforts de l'Unesco en matière de coopération internationale sur les ressources naturelles", a-t-il ajouté insistant sur le "besoin de faire connaître les problèmes de la dégradation des terres sèches, notamment à travers l'éducation".
Les travaux, qui dureront trois jours, devraient permettre de faire le point des connaissances sur l'avenir des terres arides et semi-arides afin d'élaborer des propositions pour préserver ces écosystèmes particulièrement vulnérables.
La désertification menace plus de 1,2 milliard de personnes dans 110 pays parmi les plus pauvres et deux milliards, soit un tiers de la population mondiale, vivent en zones arides et semi arides (41% de la planète).
Outre la "conservation de la biodiversité" et la "dynamique des écosystèmes de terres sèches", la conférence débattra des moyens d'existence "viables", d'éducation et de partage des connaissances.
La rareté de l'eau et sa gestion figurent au programme, ainsi que la gestion des catastrophes naturelles et des risques spécifiques aux régions arides.
Le Maghreb, qui fait partie des régions les plus exposées au phénomène de la désertification, est notamment représentée à la conférence par Habib Ben Yahia, secrétaire général de l'Union du Maghreb arabe (UMA), comprenant Algérie, Libye, Maroc, Mauritanie, Tunisie.
Un sommet de chefs d'Etat et de gouvernement est prévue sur ce thème en octobre 2006 en Algérie, ce pays ayant été désigné pour piloter l'année internationale des déserts et de la désertification.
La conférence, organisée par cette agence des Nations Unies, "est la principale manifestation" de l'Année internationale des déserts et de la désertification de l'Onu, a déclaré M. Walter Erdelen, sous-directeur général de l'Unesco pour les sciences.
"Les zones arides ont été au coeur des efforts de l'Unesco en matière de coopération internationale sur les ressources naturelles", a-t-il ajouté insistant sur le "besoin de faire connaître les problèmes de la dégradation des terres sèches, notamment à travers l'éducation".
Les travaux, qui dureront trois jours, devraient permettre de faire le point des connaissances sur l'avenir des terres arides et semi-arides afin d'élaborer des propositions pour préserver ces écosystèmes particulièrement vulnérables.
La désertification menace plus de 1,2 milliard de personnes dans 110 pays parmi les plus pauvres et deux milliards, soit un tiers de la population mondiale, vivent en zones arides et semi arides (41% de la planète).
Outre la "conservation de la biodiversité" et la "dynamique des écosystèmes de terres sèches", la conférence débattra des moyens d'existence "viables", d'éducation et de partage des connaissances.
La rareté de l'eau et sa gestion figurent au programme, ainsi que la gestion des catastrophes naturelles et des risques spécifiques aux régions arides.
Le Maghreb, qui fait partie des régions les plus exposées au phénomène de la désertification, est notamment représentée à la conférence par Habib Ben Yahia, secrétaire général de l'Union du Maghreb arabe (UMA), comprenant Algérie, Libye, Maroc, Mauritanie, Tunisie.
Un sommet de chefs d'Etat et de gouvernement est prévue sur ce thème en octobre 2006 en Algérie, ce pays ayant été désigné pour piloter l'année internationale des déserts et de la désertification.