L'aggravation de la pollution atmosphérique est devenue l'un des sujets qui font le plus débat dans la ville.
Le ciel est fréquemment obscurci par une brume provoquée par la circulation de vieilles voitures très polluantes et d'usines implantées dans la partie sud de cette mégalopole de 12 millions d'habitants.
"Vivre à Téhéran, c'est comme participer à un suicide collectif. Le nombre de morts devrait augmenter cette année", déclare le maire adjoint, Mohammad Hadi Heydarzadeh (L'année iranienne prend fin le 20 mars).
Selon Heydarzadeh, les indicateurs montrent que la qualité de l'air s'est dégradée et que la pollution a joué un rôle majeur dans la mort de 3.600 personnes en octobre à Téhéran.
Le ciel est fréquemment obscurci par une brume provoquée par la circulation de vieilles voitures très polluantes et d'usines implantées dans la partie sud de cette mégalopole de 12 millions d'habitants.
"Vivre à Téhéran, c'est comme participer à un suicide collectif. Le nombre de morts devrait augmenter cette année", déclare le maire adjoint, Mohammad Hadi Heydarzadeh (L'année iranienne prend fin le 20 mars).
Selon Heydarzadeh, les indicateurs montrent que la qualité de l'air s'est dégradée et que la pollution a joué un rôle majeur dans la mort de 3.600 personnes en octobre à Téhéran.