Le Parfumeur
Le Parfumeur
Dans une nouvelle brochure intitulée "Le rhume des foins ou rhinite allergique saisonnière", l'association Asthme & Allergies rappelle que ce rhume saisonnier se manifeste aussi très souvent au niveau des yeux pendant les périodes polliniques des arbres, des graminées et des herbacées.
Les pollens transportés par les courants atmosphériques ou le vent arrivent au niveau des organes cibles. Résultat: une inflammation d'abord localisée au niveau du nez, atteignant fréquemment les yeux, la rhinoconjonctivite.
Bien que relativement bénin, le rhume des foins ne doit pas être négligé, ni sous-estimé, en raison des récidives annuelles (qui peuvent altérer la qualité de vie du patient) et des complications possibles telles que l'asthme.
Chez les allergiques, les pollens se comportent comme des allergènes provoquant une réaction immunitaire (fabrication d'immunoglobulines E) entraînant une cascade de symptômes.
Les pollens sont les semences mâles des plantes, de petits grains de formes très différentes selon les espèces végétales. Leur dimension moyenne est d'environ 5/100e de millimètre. Ils sont invisibles à l'oeil nu. Ces grains contiennent de nombreuses protéines allergisantes. L'intensité des symptômes est fonction de la quantité de pollen libérée par les plantes.
Le "rhume des foins" se manifeste par trois signes presque toujours présents: le nez qui coule comme une fontaine, le nez bouché et les éternuements fréquents. Il apparaît le plus souvent chez des individus âgés de huit à vingt ans. Des complications sont possibles, un asthme notamment, s'exprimant parfois par des quintes de toux sèche, en particulier chez l'enfant.
Selon l'association Asthme & Allergies, une étude menée en juillet et août 2005 aux Etats-Unis et en Europe auprès de 3.600 allergiques montre que 41% des patients ayant une rhinite allergique de tout type (pas exclusivement due aux pollens) ne dorment pas suffisamment pour être reposés le matin et que 40% d'entre eux éprouvent des difficultés à s'endormir.
Les pollens transportés par les courants atmosphériques ou le vent arrivent au niveau des organes cibles. Résultat: une inflammation d'abord localisée au niveau du nez, atteignant fréquemment les yeux, la rhinoconjonctivite.
Bien que relativement bénin, le rhume des foins ne doit pas être négligé, ni sous-estimé, en raison des récidives annuelles (qui peuvent altérer la qualité de vie du patient) et des complications possibles telles que l'asthme.
Chez les allergiques, les pollens se comportent comme des allergènes provoquant une réaction immunitaire (fabrication d'immunoglobulines E) entraînant une cascade de symptômes.
Les pollens sont les semences mâles des plantes, de petits grains de formes très différentes selon les espèces végétales. Leur dimension moyenne est d'environ 5/100e de millimètre. Ils sont invisibles à l'oeil nu. Ces grains contiennent de nombreuses protéines allergisantes. L'intensité des symptômes est fonction de la quantité de pollen libérée par les plantes.
Le "rhume des foins" se manifeste par trois signes presque toujours présents: le nez qui coule comme une fontaine, le nez bouché et les éternuements fréquents. Il apparaît le plus souvent chez des individus âgés de huit à vingt ans. Des complications sont possibles, un asthme notamment, s'exprimant parfois par des quintes de toux sèche, en particulier chez l'enfant.
Selon l'association Asthme & Allergies, une étude menée en juillet et août 2005 aux Etats-Unis et en Europe auprès de 3.600 allergiques montre que 41% des patients ayant une rhinite allergique de tout type (pas exclusivement due aux pollens) ne dorment pas suffisamment pour être reposés le matin et que 40% d'entre eux éprouvent des difficultés à s'endormir.
