Née au Kenya, Wangri Maathai mena des études très poussées en biologie. Après l'obtention de son doctorat, elle enseigne et dirige un département à l'université de Nairobi. Elle fut ainsi la première femme titulaire d'un doctorat dans toute l'Afrique de l'Est.
En décembre 2002, elle fit son entrée au parlement kenyan. Après être élue écologiste, elle devint, une année plus tard, ministre-adjoint à l'Environnement, aux Ressources naturelles et à la Faune sauvage.
Son nom est désormais associé à l'environnement. Elle dirigea, un projet de grande envergure portant sur le reboisement du continent africain, dès son inauguration en 1977. Il s'agit du "Mouvement Ceinture Verte" (Green Belt Movement 'GBM').
Ce mouvement a permis la plantation de plus de 30 millions d'arbres au Kenya et la création des emplois auprès des femmes de la région, pour faire écho plus tard dans plusieurs pays africains comme le Tanzanie, l'Ouganda, le Malawi, le Lesotho, l'Ethiopie et le Zimbabwe.
La cause féminine et les droits d'Homme, Wangri Maathai en parle à haute voix. Faire régner la paix pour vivre dans un environnement sain de génération en génération est le credo de cette femme africaine. Sa "contribution au bien-être de l'Humanité » fut décorée par le prix "Right Livelihood Award", ainsi que par 13 autres distinctions internationales.
Militante du Parti Ecologiste pour le Développement du Burkina (PEDB), Wangri Maathai est aussi la fondatrice de l'Association Ceinture Verte du Kenya et initiatrice de la campagne mondiale "Plantons pour la Planète : la Campagne pour un milliard d'arbres".
Elle fut primée en 2004, à l'âge de 64 ans, par le prestigieux prix Nobel de la Paix "pour sa contribution en faveur du développement durable, de la démocratie et de la paix". Ainsi Wangri Maathai est la première femme africaine à remporter ce prix.
Wangri Maathai continue son engagement et son militantisme, elle joigne sa voix à l'appel récemment lancé par le président français Jacques Chirac "Mobilisation internationale contre la crise écologique".
En décembre 2002, elle fit son entrée au parlement kenyan. Après être élue écologiste, elle devint, une année plus tard, ministre-adjoint à l'Environnement, aux Ressources naturelles et à la Faune sauvage.
Son nom est désormais associé à l'environnement. Elle dirigea, un projet de grande envergure portant sur le reboisement du continent africain, dès son inauguration en 1977. Il s'agit du "Mouvement Ceinture Verte" (Green Belt Movement 'GBM').
Ce mouvement a permis la plantation de plus de 30 millions d'arbres au Kenya et la création des emplois auprès des femmes de la région, pour faire écho plus tard dans plusieurs pays africains comme le Tanzanie, l'Ouganda, le Malawi, le Lesotho, l'Ethiopie et le Zimbabwe.
La cause féminine et les droits d'Homme, Wangri Maathai en parle à haute voix. Faire régner la paix pour vivre dans un environnement sain de génération en génération est le credo de cette femme africaine. Sa "contribution au bien-être de l'Humanité » fut décorée par le prix "Right Livelihood Award", ainsi que par 13 autres distinctions internationales.
Militante du Parti Ecologiste pour le Développement du Burkina (PEDB), Wangri Maathai est aussi la fondatrice de l'Association Ceinture Verte du Kenya et initiatrice de la campagne mondiale "Plantons pour la Planète : la Campagne pour un milliard d'arbres".
Elle fut primée en 2004, à l'âge de 64 ans, par le prestigieux prix Nobel de la Paix "pour sa contribution en faveur du développement durable, de la démocratie et de la paix". Ainsi Wangri Maathai est la première femme africaine à remporter ce prix.
Wangri Maathai continue son engagement et son militantisme, elle joigne sa voix à l'appel récemment lancé par le président français Jacques Chirac "Mobilisation internationale contre la crise écologique".