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La manifestation, initiée dans le cadre du programme de coopération de l'Union européenne (MEDA), réunira des experts marocains et étrangers pour mener une réflexion sur la promotion d'une agriculture qui soit adaptée aux écosystèmes de la région tout en étant rémunératrice pour les propriétaires des petits lopins de terre incrustés dans les reliefs.
L'agriculture de montagne, conduite dans des milieux changeants, interdépendants, fragmentés et à écologies souvent fragiles, repose sur la mise en place de systèmes complexes d'exploitation et de gestion des ressources naturelles. Or, l'évolution démographique, l'accroissement des échanges et la monétarisation des économies ont induit des changements profonds dans les systèmes de production locaux.
Dans ce contexte, le maintien d'une agriculture de montagne dans la région constitue un enjeu majeur à la fois pour l'économie locale, la protection des écosystèmes naturels et la préservation du savoir-faire traditionnel, indique les organisateurs de cette rencontre.
Au niveau de la province de Chefchaouen, l'agriculture est la principale occupation pour environ 120.000 personnes, soit environ 90 % de la population active en milieu rural.
Les espaces en bour sont cultivés de façon permanente ou plantés en arbres fruitiers. Ils englobent des terrains nus ayant été défrichés et cultivés, actuellement très dégradés, et des ensembles mixtes: cultures et matorrals et cultures sous forêts.
En raison du relief, les terres irriguées par la petite et moyenne hydraulique ne dépassent pas une superficie globale de 5.400 ha.
Compte tenu de ces contraintes, les participants à ce séminaire feront le diagnostic de l'agriculture de montagne dans la province de Chefchaouen avant de proposer un plan de développement approprié. Un plan dont le principal objectif est l'organisation des filières d'agriculture de montagne et la valorisation des produits de terroir à forte valeur ajoutée.
L'agriculture de montagne, conduite dans des milieux changeants, interdépendants, fragmentés et à écologies souvent fragiles, repose sur la mise en place de systèmes complexes d'exploitation et de gestion des ressources naturelles. Or, l'évolution démographique, l'accroissement des échanges et la monétarisation des économies ont induit des changements profonds dans les systèmes de production locaux.
Dans ce contexte, le maintien d'une agriculture de montagne dans la région constitue un enjeu majeur à la fois pour l'économie locale, la protection des écosystèmes naturels et la préservation du savoir-faire traditionnel, indique les organisateurs de cette rencontre.
Au niveau de la province de Chefchaouen, l'agriculture est la principale occupation pour environ 120.000 personnes, soit environ 90 % de la population active en milieu rural.
Les espaces en bour sont cultivés de façon permanente ou plantés en arbres fruitiers. Ils englobent des terrains nus ayant été défrichés et cultivés, actuellement très dégradés, et des ensembles mixtes: cultures et matorrals et cultures sous forêts.
En raison du relief, les terres irriguées par la petite et moyenne hydraulique ne dépassent pas une superficie globale de 5.400 ha.
Compte tenu de ces contraintes, les participants à ce séminaire feront le diagnostic de l'agriculture de montagne dans la province de Chefchaouen avant de proposer un plan de développement approprié. Un plan dont le principal objectif est l'organisation des filières d'agriculture de montagne et la valorisation des produits de terroir à forte valeur ajoutée.