
Intervenant lors d'une réunion à Ifrane consacrée au lancement de cette étude, qui sera réalisée dans un délai de 3 mois avec une enveloppe de l'ordre de 180.000 dirhams, M. Karim Kassi-Lahlou, gouverneur de la province a souligné l'importance de ce document, qui permettra l'élaboration de fichiers de projets applicables sur le terrain.
Ces projets sont à même de faciliter l'investissement et créer davantage de postes d'emploi et de valeur ajoutée pour la province, qui a une vocation agricole, a-t-il ajouté.
Pour sa part, le directeur du CRI, M. Mohamed Bahi a indiqué qu'il s'agit d'une étude scientifique limitée dans le temps et dans l'espace, appelant à la création de projets en partenariat avec les secteurs public et privé et qui ont trait aux produits du terroir.
Il a relevé que cette étude, qui sera généralisée à d'autres provinces, sera introduite dans le cadre du programme Moukawalati qui vise la création de 30.000 petites entreprises, dont le montant d'investissement est inférieur ou égal à 250.000 dirhams, à l'horizon 2008 dans toutes les régions et localités du pays.
Il a aussi appelé à l'implication de tous les partenaires, notamment les communes rurales, les services concernés, les élus et les organisations professionnelles en vue d'élaborer une étude répondant aux attentes des populations locales.
Lors de cette réunion à laquelle ont pris part les chefs des départements concernés et les élus, l'accent a été mis sur la nécessité de mettre sur pied de projets tenant compte du coût de la production en vue de relever les défis de la compétitivité sur les plans national et international.
Ils ont de même plaidé pour des projets à faible consommation de l'eau, qui respectent le système écologique, déplorant la méconnaissance des opportunités et des potentialités d'investissement que recèle la région et qui constitue l'un des grands obstacles à l'investissement.
L'étude porte sur la réalisation d'un diagnostic et d'une analyse du potentiel de production agricole existant au niveau de la province en relation avec les atouts et contraintes y afférents.
L'analyse concernera les niveaux quantitatifs et qualitatifs des productions agricoles végétales et animales, les pratiques actuelles de productions et le niveau de conformité aux conditions techniques requises, les rentabilités économiques et financières de chaque production, les circuits de commercialisation, les formes d'organisation professionnelle et les infrastructures utilisées pour les activités agricoles.
L'étude va de même définir et quantifier la valeur ajoutée au terme de la valorisation des produits agricoles et agro-touristiques dans l'économie locale et déterminer les exigences minimales pour extérioriser et valoriser les produits de terroir d'une manière durable, les critères d'évaluation de la rentabilité économique et financière au terme des actions de valorisation des produits agricoles.
Elle procédera également à une analyse des potentialités de la province, notamment les productions végétales et animales, les plantes aromatiques et médicinales et les ressources piscicoles, ainsi que des atouts offerts et des contraintes, des possibilités de valorisation des potentialités, et à un recensement des infrastructures de valorisation existantes.
Ces projets sont à même de faciliter l'investissement et créer davantage de postes d'emploi et de valeur ajoutée pour la province, qui a une vocation agricole, a-t-il ajouté.
Pour sa part, le directeur du CRI, M. Mohamed Bahi a indiqué qu'il s'agit d'une étude scientifique limitée dans le temps et dans l'espace, appelant à la création de projets en partenariat avec les secteurs public et privé et qui ont trait aux produits du terroir.
Il a relevé que cette étude, qui sera généralisée à d'autres provinces, sera introduite dans le cadre du programme Moukawalati qui vise la création de 30.000 petites entreprises, dont le montant d'investissement est inférieur ou égal à 250.000 dirhams, à l'horizon 2008 dans toutes les régions et localités du pays.
Il a aussi appelé à l'implication de tous les partenaires, notamment les communes rurales, les services concernés, les élus et les organisations professionnelles en vue d'élaborer une étude répondant aux attentes des populations locales.
Lors de cette réunion à laquelle ont pris part les chefs des départements concernés et les élus, l'accent a été mis sur la nécessité de mettre sur pied de projets tenant compte du coût de la production en vue de relever les défis de la compétitivité sur les plans national et international.
Ils ont de même plaidé pour des projets à faible consommation de l'eau, qui respectent le système écologique, déplorant la méconnaissance des opportunités et des potentialités d'investissement que recèle la région et qui constitue l'un des grands obstacles à l'investissement.
L'étude porte sur la réalisation d'un diagnostic et d'une analyse du potentiel de production agricole existant au niveau de la province en relation avec les atouts et contraintes y afférents.
L'analyse concernera les niveaux quantitatifs et qualitatifs des productions agricoles végétales et animales, les pratiques actuelles de productions et le niveau de conformité aux conditions techniques requises, les rentabilités économiques et financières de chaque production, les circuits de commercialisation, les formes d'organisation professionnelle et les infrastructures utilisées pour les activités agricoles.
L'étude va de même définir et quantifier la valeur ajoutée au terme de la valorisation des produits agricoles et agro-touristiques dans l'économie locale et déterminer les exigences minimales pour extérioriser et valoriser les produits de terroir d'une manière durable, les critères d'évaluation de la rentabilité économique et financière au terme des actions de valorisation des produits agricoles.
Elle procédera également à une analyse des potentialités de la province, notamment les productions végétales et animales, les plantes aromatiques et médicinales et les ressources piscicoles, ainsi que des atouts offerts et des contraintes, des possibilités de valorisation des potentialités, et à un recensement des infrastructures de valorisation existantes.