Le Parfumeur
Le Parfumeur
Lors de la présentation des rapports des plénières, jeudi, il a été souligné que ce centre s'avère "indispensable et incontournable" et devra être optimisé avec des synergies, notamment le centre de l'Oriental pour les sciences et technologies de l'eau (COSTE), lui même crée dans le cadre de ce partenariat maroco-belge s'étalant sur 2004-2007.
Cette proposition a été avancée au volet "appui à la recherche et développement" concernant trois axes : énergies renouvelables (géothermique,solaire thermique, photovoltaïque, éolien), l'agroalimentaire (oléiculture méditerranéenne, plantes aromatiques/médicinales, fruits du desert-truffes,jojoba) et l'environnement.
L'accent a été mis, d'autre part, sur "l'appui à la formation des formateurs" par l'enseignement des langues étrangères et des techniques orales et écrites de communication et par l'informatique générale et l'informatique spécialisée, avec en perspectives un colloque international sur l'informatique et ses applications prévu pour novembre prochain, une table ronde autour de l'enseignement de la communication et techniques d'expression,en plus du développement d'une université en ligne avec matériel informatique suffisant et accès au réseau.
Il a été par ailleurs mis en relief le rôle que joue le COSTE, qui mène plusieurs projets de recherches avec 40 enseignants-chercheurs de l'UMP sur les eaux souterraines et cartographies des aquifères, eaux et déchets, eaux usées dans l'Oriental, irrigation et qualité des nappes et modélisation des ressources en eau de l'Oriental, grâce à deux laboratoires d'analyse des eaux,en plus de l'implication de cinq laboratoires belges dans les actions du COSTE.
Le Centre universitaire pour le développement de la région de l'Oriental (CUDRO) chargé de favoriser le dialogue entre secteurs universitaires et socio-économiques, d'accompagner les projets en émergence, de mettre en place progressive d'un service analytique à destination des industriels, avec implication estudiantine, souhaite aussi la création d'une structure de soutien publique permanente pour le renforcement du "potentiel innovation" au sein
des PME.
Le CUDRO est présenté par les participants comme un exemple à l'échelle du
Maroc en tant que structure d'interface qui "fonctionne le mieux" et des perspectives sont ainsi envisagées de "professionnaliser" les offres de ses services vis-à-vis de l'extérieur, d'intégrer davantage les notions de confidentialité et de rendre opérationnel le laboratoire accrédité. Les participants ont de même insisté sur "l'appui à l'université" dans les
domaines de l'information, de la communication et de la bonne gouvernance, avec création d'une Licence ou d'un Master sur la gouvernance et l'informatisation des différents services, pour jouer un rôle d'acteur de développement régional.
Au niveau des ateliers, il a été suggéré la création d'un centre universitaire d'informatique, d'un fonds de ressources pédagogiques et d'un "club d'entreprise", la poursuite des équipements universitaires et de la recherche en matière de lutte contre la désertification et la maladie du "bayoud" s'attaquant aux palmeraies, en plus du développement de la
coopération entre scientifiques et décideurs. Les chercheurs marocains et belges se sont par ailleurs félicités des excellents résultats réalisés depuis le début de la période de coopération
2004-2007 entre l'Université Mohammed-I et la commission universitaire de développement belge pour laquelle celle-ci a consacré 2 millions de dirhams.
Ils ont plaidé pour la pérennisation de ces échanges dans un esprit de gagnant-gagnant et de co-responsabilité.
Cette proposition a été avancée au volet "appui à la recherche et développement" concernant trois axes : énergies renouvelables (géothermique,solaire thermique, photovoltaïque, éolien), l'agroalimentaire (oléiculture méditerranéenne, plantes aromatiques/médicinales, fruits du desert-truffes,jojoba) et l'environnement.
L'accent a été mis, d'autre part, sur "l'appui à la formation des formateurs" par l'enseignement des langues étrangères et des techniques orales et écrites de communication et par l'informatique générale et l'informatique spécialisée, avec en perspectives un colloque international sur l'informatique et ses applications prévu pour novembre prochain, une table ronde autour de l'enseignement de la communication et techniques d'expression,en plus du développement d'une université en ligne avec matériel informatique suffisant et accès au réseau.
Il a été par ailleurs mis en relief le rôle que joue le COSTE, qui mène plusieurs projets de recherches avec 40 enseignants-chercheurs de l'UMP sur les eaux souterraines et cartographies des aquifères, eaux et déchets, eaux usées dans l'Oriental, irrigation et qualité des nappes et modélisation des ressources en eau de l'Oriental, grâce à deux laboratoires d'analyse des eaux,en plus de l'implication de cinq laboratoires belges dans les actions du COSTE.
Le Centre universitaire pour le développement de la région de l'Oriental (CUDRO) chargé de favoriser le dialogue entre secteurs universitaires et socio-économiques, d'accompagner les projets en émergence, de mettre en place progressive d'un service analytique à destination des industriels, avec implication estudiantine, souhaite aussi la création d'une structure de soutien publique permanente pour le renforcement du "potentiel innovation" au sein
des PME.
Le CUDRO est présenté par les participants comme un exemple à l'échelle du
Maroc en tant que structure d'interface qui "fonctionne le mieux" et des perspectives sont ainsi envisagées de "professionnaliser" les offres de ses services vis-à-vis de l'extérieur, d'intégrer davantage les notions de confidentialité et de rendre opérationnel le laboratoire accrédité. Les participants ont de même insisté sur "l'appui à l'université" dans les
domaines de l'information, de la communication et de la bonne gouvernance, avec création d'une Licence ou d'un Master sur la gouvernance et l'informatisation des différents services, pour jouer un rôle d'acteur de développement régional.
Au niveau des ateliers, il a été suggéré la création d'un centre universitaire d'informatique, d'un fonds de ressources pédagogiques et d'un "club d'entreprise", la poursuite des équipements universitaires et de la recherche en matière de lutte contre la désertification et la maladie du "bayoud" s'attaquant aux palmeraies, en plus du développement de la
coopération entre scientifiques et décideurs. Les chercheurs marocains et belges se sont par ailleurs félicités des excellents résultats réalisés depuis le début de la période de coopération
2004-2007 entre l'Université Mohammed-I et la commission universitaire de développement belge pour laquelle celle-ci a consacré 2 millions de dirhams.
Ils ont plaidé pour la pérennisation de ces échanges dans un esprit de gagnant-gagnant et de co-responsabilité.
