
Sur un terrain d’un hectare, le parc compte 39 parterres et plus de 250 plantes topiaires. Des chefs d'oeuvres signés Albert Navez. Cet homme qui se passionne pour l'art topiaire qui consiste à tailler des plantes de façon décorative pour donner forme à des personnages, des animaux et des figures géométriques parfois extravagantes. Ayant commencé par décorer son jardin familial, il finira par créer ce parc public.
Plus tard, en juillet 2003 le parc fut acquit par IDELUX (Intercommunale pour le Développement Economique durable du Luxembourg belge). Quant à sa gestion, elle fut attribuée à l’Office Communal du Tourisme de Durbuy.
Topiaire est originaire du mot latin « topiarus », c’est-à-dire jardinier, qui découle quant à lui du mot « topia », c’est-à-dire jardin, dont les racines correspondent au mot grec « topos », c’est-à-dire endroit.
Pour la petite histoire, l'art topiaire fut découvert depuis l'âge des Grecs et des Romains. Il réapparaîtra, après une longue disparition à la Renaissance et se développa à partir du 17ème siècle notamment dans les jardins français, anglais et belges, pour ensuite connaître une certaine humiliation pendant les deux guerres mondiales. Au début du 20ème siècle, cet art acquit à nouveau une valeur particulière grâce à l'étude des jardins classiques en vogue.
Vous pouvez visiter le parc sur le site : www.topiairesdurbuy.be
Plus tard, en juillet 2003 le parc fut acquit par IDELUX (Intercommunale pour le Développement Economique durable du Luxembourg belge). Quant à sa gestion, elle fut attribuée à l’Office Communal du Tourisme de Durbuy.
Topiaire est originaire du mot latin « topiarus », c’est-à-dire jardinier, qui découle quant à lui du mot « topia », c’est-à-dire jardin, dont les racines correspondent au mot grec « topos », c’est-à-dire endroit.
Pour la petite histoire, l'art topiaire fut découvert depuis l'âge des Grecs et des Romains. Il réapparaîtra, après une longue disparition à la Renaissance et se développa à partir du 17ème siècle notamment dans les jardins français, anglais et belges, pour ensuite connaître une certaine humiliation pendant les deux guerres mondiales. Au début du 20ème siècle, cet art acquit à nouveau une valeur particulière grâce à l'étude des jardins classiques en vogue.
Vous pouvez visiter le parc sur le site : www.topiairesdurbuy.be