
S'exprimant lors d'un colloque sur le partenariat entre l'Université Mohammed-I d'Oujda et la coopération universitaire de développement (CUD-belge) au profit de l'Oriental, qui vient de se dérouler à Oujda,Khiar a précisé que l'oliveraie occupe dans l'Oriental une superficie globale de 55.000 ha,répartie notamment sur les provinces de Nador, Berkane, Taourirt, Jerada et Figuig.
Cette superficie connaîtra, en outre, une importante extension compte tenu,a-t-il dit, de l'intérêt exprimé par SM le Roi pour la valorisation de la production agricole dans cette région, en tant que valeur ajoutée à grand impact sur le plan socio-économique, en particulier en ce qui concerne l'oléiculture, un produit de plus en plus demandé sur le plan national et international.
C'est ainsi que 12 milliards de centimes seront alloués au secteur au cours des cinq prochaines années pour l'extension des superficies oléicoles,notamment à Taourirt et Jérada, à partir de 2007, et ce, dans la cadre du programme "Milliénium Challenge Account" (MCA).
L'année dernière, la région de l'Oriental a produit 818.000 quintaux d'olives et 51.000 quintaux d'huile, produite par cinq unités modernes de trituration et 121 unités traditionnelles. La perspective milite toutefois pour la modernisation de ces unités en vue d'une production de qualité. C'est au cours de ce même colloque qu'a été présenté un projet d'entreprise pour le traitement de l'olive de table à Oujda, grâce au "levain", une bactérie lactique isolée en laboratoire après quatre ans de recherche en doctorat d'Etat préparé par le Pr. Asehraou, enseignant à la faculté des sciences d'Oujda et promoteur du projet.
Au titre de la saison 2005-2006, la DPA d'Oujda a distribué 31.000 plants d'oliviers dans les régions d'Oujda, Taourirt, Jerada et une partie de Berkane, essentiellement la variété dite "Picholine marocaine" qui domine à 96 pc la superficie oléicole nationale, mais avec une perspective de promotion de techniques culturales appropriées (goutte-à-goutte) et d'autres variétés pour remédier au phénomène d'alternance de production d'olives, au rythme d'un an sur deux. En raison de l'absence de circuits de commercialisation organisé, on souligne de même source que l'effort sera axé sur la création d'un réseau de commercialisation d'olives à partir de la place d'El Ayoune (Ouest d'Oujda).
Nombre d'intervenants ont relevé l'impact socio-économique "incontestable" de ce créneau oléicole porteur et que la tendance est pour un "partenariat" dans le domaine de transformation et de commercialisation du produit. Dans le cadre de ce colloque sur le partenariat, l'atelier consacré à l'agro-industrie a mis aussi l'accent sur l'importance de la valorisation de la "truffe" de l'Oriental, produit très riche en protéines et en oligo-éléments et les plantes médicinales de la région, dont le romarin, d'autant plus que le Maroc est présenté comme un grand producteur des huiles essentielles, en plus des prestigieux agrumes de Berkane.
Cette superficie connaîtra, en outre, une importante extension compte tenu,a-t-il dit, de l'intérêt exprimé par SM le Roi pour la valorisation de la production agricole dans cette région, en tant que valeur ajoutée à grand impact sur le plan socio-économique, en particulier en ce qui concerne l'oléiculture, un produit de plus en plus demandé sur le plan national et international.
C'est ainsi que 12 milliards de centimes seront alloués au secteur au cours des cinq prochaines années pour l'extension des superficies oléicoles,notamment à Taourirt et Jérada, à partir de 2007, et ce, dans la cadre du programme "Milliénium Challenge Account" (MCA).
L'année dernière, la région de l'Oriental a produit 818.000 quintaux d'olives et 51.000 quintaux d'huile, produite par cinq unités modernes de trituration et 121 unités traditionnelles. La perspective milite toutefois pour la modernisation de ces unités en vue d'une production de qualité. C'est au cours de ce même colloque qu'a été présenté un projet d'entreprise pour le traitement de l'olive de table à Oujda, grâce au "levain", une bactérie lactique isolée en laboratoire après quatre ans de recherche en doctorat d'Etat préparé par le Pr. Asehraou, enseignant à la faculté des sciences d'Oujda et promoteur du projet.
Au titre de la saison 2005-2006, la DPA d'Oujda a distribué 31.000 plants d'oliviers dans les régions d'Oujda, Taourirt, Jerada et une partie de Berkane, essentiellement la variété dite "Picholine marocaine" qui domine à 96 pc la superficie oléicole nationale, mais avec une perspective de promotion de techniques culturales appropriées (goutte-à-goutte) et d'autres variétés pour remédier au phénomène d'alternance de production d'olives, au rythme d'un an sur deux. En raison de l'absence de circuits de commercialisation organisé, on souligne de même source que l'effort sera axé sur la création d'un réseau de commercialisation d'olives à partir de la place d'El Ayoune (Ouest d'Oujda).
Nombre d'intervenants ont relevé l'impact socio-économique "incontestable" de ce créneau oléicole porteur et que la tendance est pour un "partenariat" dans le domaine de transformation et de commercialisation du produit. Dans le cadre de ce colloque sur le partenariat, l'atelier consacré à l'agro-industrie a mis aussi l'accent sur l'importance de la valorisation de la "truffe" de l'Oriental, produit très riche en protéines et en oligo-éléments et les plantes médicinales de la région, dont le romarin, d'autant plus que le Maroc est présenté comme un grand producteur des huiles essentielles, en plus des prestigieux agrumes de Berkane.