
Fotooweb
Cette rencontre vise à attirer l'attention des différents acteurs du développement sur les ressources en eau à l'échelle du bassin de Moulouya et de débattre du devenir de l'eau dans l'Oriental pour en optimiser l'utilisation à l'avenir, souligne la même source.
Les travaux du débat national sur l'eau à Oujda va permettre de porter quelques lumières sur les problématiques liées à l'eau dans le bassin de la Moulouya et donnera l'occasion aux opérateurs dans le domaine des ressources hydrauliques "d'apporter des recommandations concertées pour redresser la situation que connaît ce bassin, notamment la faible valorisation des ressources en eau et la dégradation de leur qualité".
"Pour des raisons d'aridité, l'eau est particulièrement rare dans le bassin de Moulouya", met en garde le communiqué, notant que "les précipitations les plus copieuses (dans cette région) ne dépassent guère 500mm/an, dans les localisations montagneuses les plus favorables".
Vers le sud et l'Est, elles "passent en dessous de 200mm/an pour s'évanouir presque totalement au courant du désert", ajoute-t-on.
Les travaux du débat national sur l'eau à Oujda va permettre de porter quelques lumières sur les problématiques liées à l'eau dans le bassin de la Moulouya et donnera l'occasion aux opérateurs dans le domaine des ressources hydrauliques "d'apporter des recommandations concertées pour redresser la situation que connaît ce bassin, notamment la faible valorisation des ressources en eau et la dégradation de leur qualité".
"Pour des raisons d'aridité, l'eau est particulièrement rare dans le bassin de Moulouya", met en garde le communiqué, notant que "les précipitations les plus copieuses (dans cette région) ne dépassent guère 500mm/an, dans les localisations montagneuses les plus favorables".
Vers le sud et l'Est, elles "passent en dessous de 200mm/an pour s'évanouir presque totalement au courant du désert", ajoute-t-on.