Initiée par la wilaya de la région Meknès-Tafilalet, le ministère de l'Energie et des Mines et le Centre régional d'investissement, cette rencontre vise à sensibiliser la population à l'utilisation des énergies renouvelables et à leurs avantages notamment dans la préservation de l'environnement.
M. Boutaleb a précisé que l'énergie solaire contribue à hauteur de 8 % dans la réalisation du programme d'électrification rurale globale (PERG), estimant que la diversification des sources d'énergie et le développement des énergies renouvelables figurent parmi les priorités de la stratégie énergétique nationale.
Le Maroc dispose de plusieurs centres d'énergies renouvelables, a rappelé le ministre, qui a souligné l'élaboration du plan national dans ce domaine, qui comprend de nouveaux projets de production de l'électricité à partir des énergies solaire et éolienne.
Ce plan national repose sur des programmes structurants visant la diffusion de services énergétiques durables dans le monde rural, l'équipement de 150.000 foyers, la construction de 1000 maisons d'énergie et la gestion efficace de la consommation énergétique dans le secteur industriel.
De son côté, le wali de la région Meknès-Tafilalet, M. Hassan Aourid, a mis l'accent sur le climat froid de la région, qui a des conséquences néfastes sur le secteur éducatif (abandon scolaire).
M. Aourid, qui a mis en relief l'importance de l'utilisation d'énergies alternatives au chauffage par le bois, a appelé à la tenue d'une rencontre régionale annuelle sur les énergies renouvelables pour promouvoir l'utilisation de ces énergies.
Mme Amal Haddouche, directeur général du Centre de développement des énergies renouvelables, a présenté les grandes lignes du programme national pour le développement des énergies renouvelables et mis l'accent sur l'efficacité énergétique, notamment le cas de la région Meknès-Tafilalet.
Elle a estimé que ces énergies peuvent sécuriser l'approvisionnement national par la diversification et la mobilisation des ressources locales.
M. Boutaleb a précisé que l'énergie solaire contribue à hauteur de 8 % dans la réalisation du programme d'électrification rurale globale (PERG), estimant que la diversification des sources d'énergie et le développement des énergies renouvelables figurent parmi les priorités de la stratégie énergétique nationale.
Le Maroc dispose de plusieurs centres d'énergies renouvelables, a rappelé le ministre, qui a souligné l'élaboration du plan national dans ce domaine, qui comprend de nouveaux projets de production de l'électricité à partir des énergies solaire et éolienne.
Ce plan national repose sur des programmes structurants visant la diffusion de services énergétiques durables dans le monde rural, l'équipement de 150.000 foyers, la construction de 1000 maisons d'énergie et la gestion efficace de la consommation énergétique dans le secteur industriel.
De son côté, le wali de la région Meknès-Tafilalet, M. Hassan Aourid, a mis l'accent sur le climat froid de la région, qui a des conséquences néfastes sur le secteur éducatif (abandon scolaire).
M. Aourid, qui a mis en relief l'importance de l'utilisation d'énergies alternatives au chauffage par le bois, a appelé à la tenue d'une rencontre régionale annuelle sur les énergies renouvelables pour promouvoir l'utilisation de ces énergies.
Mme Amal Haddouche, directeur général du Centre de développement des énergies renouvelables, a présenté les grandes lignes du programme national pour le développement des énergies renouvelables et mis l'accent sur l'efficacité énergétique, notamment le cas de la région Meknès-Tafilalet.
Elle a estimé que ces énergies peuvent sécuriser l'approvisionnement national par la diversification et la mobilisation des ressources locales.