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Les chercheurs de l'université britannique de Leeds ont examiné les habitudes alimentaires et la santé de plus de 35 000 femmes au cours des 7 dernières années et mis en évidence que les femmes plus jeunes ayant une alimentation riche en fibre semblaient protégées contre cette maladie au moins jusqu'à la ménopause, a rapporté dernièrement le journal national The Independant.
Cette étude dirigéee par Janet Cade a montré que les personnes avec un apport en fibres de 30 grammes par jour présentaient une incidence de cancer du sein inférieure de 50 % à celles ayant un apport en fibres de 20 grammes par jour.
Selon cette étude, l'effet n'est visible que chez les femmes de 50 ans ou moins avant la ménopause. Après la ménopause, un régime riche en fibres n'apporte aucune protection.
Aucune étude précédente n'avait montré de manière convainquante une relation entre une alimentation plus riche en fibre et un risque moindre de cancer du sein, et aucune n'avait fait de distinction entre les femmes avant et après la ménopause.
L'étude suggère plusieurs causes possibles de cet effet. Une alimentation riche en fibre apporte beaucoup de vitamines, de zinc et d'oligoéléments qui ont des propriétés protectrices et antioxydantes.
Les fibres peuvent réguler le niveau d'insuline dans le corps, qui est souvent associé à une cause possible de cancer. Ou encore, les fibres de l'alimentation régulent les niveaux d'oestrogène, hormone féminine impliquée dans le cancer du sein, un facteur particulièrement pertinent pour les femmes avant la ménopause car celles-ci ont naturellement des niveaux d'hormones très supérieurs.
Les chercheurs ignorent encore à quel stade de la vie les habitudes alimentaires ont une incidence sur les risques de cancer du sein.
Les habitudes alimentaires durant la jeunesse pourraient être les plus importantes, ce qui serait également une explication sur l'absence d'effet protecteur observé chez les femmes après la ménopause.
Les chercheurs conseillent une alimentation riche en fibre comprenant céréales au petit déjeuner, pain, pâtes, fruits et légumes.
Cette étude dirigéee par Janet Cade a montré que les personnes avec un apport en fibres de 30 grammes par jour présentaient une incidence de cancer du sein inférieure de 50 % à celles ayant un apport en fibres de 20 grammes par jour.
Selon cette étude, l'effet n'est visible que chez les femmes de 50 ans ou moins avant la ménopause. Après la ménopause, un régime riche en fibres n'apporte aucune protection.
Aucune étude précédente n'avait montré de manière convainquante une relation entre une alimentation plus riche en fibre et un risque moindre de cancer du sein, et aucune n'avait fait de distinction entre les femmes avant et après la ménopause.
L'étude suggère plusieurs causes possibles de cet effet. Une alimentation riche en fibre apporte beaucoup de vitamines, de zinc et d'oligoéléments qui ont des propriétés protectrices et antioxydantes.
Les fibres peuvent réguler le niveau d'insuline dans le corps, qui est souvent associé à une cause possible de cancer. Ou encore, les fibres de l'alimentation régulent les niveaux d'oestrogène, hormone féminine impliquée dans le cancer du sein, un facteur particulièrement pertinent pour les femmes avant la ménopause car celles-ci ont naturellement des niveaux d'hormones très supérieurs.
Les chercheurs ignorent encore à quel stade de la vie les habitudes alimentaires ont une incidence sur les risques de cancer du sein.
Les habitudes alimentaires durant la jeunesse pourraient être les plus importantes, ce qui serait également une explication sur l'absence d'effet protecteur observé chez les femmes après la ménopause.
Les chercheurs conseillent une alimentation riche en fibre comprenant céréales au petit déjeuner, pain, pâtes, fruits et légumes.