Initiée en collaboration avec l'Institut scientifique, le Fonds mondial de la nature (WWF) et le projet de coopération technique maroco-allemande "protection de la nature et lutte contre la désertification" (PRONALCD/GTZ), cette rencontre portera sur plusieurs thèmes relatifs notamment à la politique du Haut Commissariat en matière de conservation des zones humides, la valorisation des écosystèmes aquatiques par la pêche et la pisciculture et aux valeurs économiques des zones humides.
Cette manifestation, qui s'inscrit dans le cadre de la célébration de la journée mondiale des zones humides commémorant l'anniversaire de la signature du traité intergouvernemental, adopté en février 1971 à Ramsar en Iran, prévoit aussi la projection d'un documentaire intitulé "du poisson pour demain", ainsi qu'une visite au centre national d'hydrobiologie et de pisciculture et à certains plans d'eau de la région.
Elle constitue une nouvelle occasion de sensibilisation aux fonctions et valeurs de ces milieux naturels et aux menaces de dégradation auxquels ils sont exposés en permanence avec comme objectifs de susciter l'intérêt des établissements de recherche, des organismes de gestion et de la société civile pour une meilleure protection et conservation de ce patrimoine.
Chaque année, le Haut Commissariat commémore cette journée, instaurée depuis 1998, à travers l'organisation de manifestations dans différentes régions pour débattre du thème retenu chaque année par le secrétariat de la convention, avec la participation de spécialistes scientifiques et acteurs socio-économiques.
Selon le Haut Commissariat, le choix, cette année, du Moyen Atlas pour la célébration de cette journée s'explique par l'importance du système des zones humides de ce secteur qui en fait une des régions les plus riches en matière de pêche et pisciculture permettant la création d'opportunités de développement d'activités économiques et de loisirs appréciables.
Le potentiel du Maroc en zones humides est évalué à environ 200.000 ha, dont 60.000 de plans d'eau et lacs naturels et 100.000 de retenues de barrages auxquels s'ajoutent 1500 Km de cours d'eau, ajoute la même source.
Ces zones constituent une source de revenus non négligeables pour de nombreuses familles riveraines, mais aussi des créneaux potentiels pour les investisseurs et industriels, souligne le Haut Commissariat dans un communiqué, faisant savoir que la production annuelle de poissons des eaux douces est estimée à 4000 tonnes.
Cette manifestation, qui s'inscrit dans le cadre de la célébration de la journée mondiale des zones humides commémorant l'anniversaire de la signature du traité intergouvernemental, adopté en février 1971 à Ramsar en Iran, prévoit aussi la projection d'un documentaire intitulé "du poisson pour demain", ainsi qu'une visite au centre national d'hydrobiologie et de pisciculture et à certains plans d'eau de la région.
Elle constitue une nouvelle occasion de sensibilisation aux fonctions et valeurs de ces milieux naturels et aux menaces de dégradation auxquels ils sont exposés en permanence avec comme objectifs de susciter l'intérêt des établissements de recherche, des organismes de gestion et de la société civile pour une meilleure protection et conservation de ce patrimoine.
Chaque année, le Haut Commissariat commémore cette journée, instaurée depuis 1998, à travers l'organisation de manifestations dans différentes régions pour débattre du thème retenu chaque année par le secrétariat de la convention, avec la participation de spécialistes scientifiques et acteurs socio-économiques.
Selon le Haut Commissariat, le choix, cette année, du Moyen Atlas pour la célébration de cette journée s'explique par l'importance du système des zones humides de ce secteur qui en fait une des régions les plus riches en matière de pêche et pisciculture permettant la création d'opportunités de développement d'activités économiques et de loisirs appréciables.
Le potentiel du Maroc en zones humides est évalué à environ 200.000 ha, dont 60.000 de plans d'eau et lacs naturels et 100.000 de retenues de barrages auxquels s'ajoutent 1500 Km de cours d'eau, ajoute la même source.
Ces zones constituent une source de revenus non négligeables pour de nombreuses familles riveraines, mais aussi des créneaux potentiels pour les investisseurs et industriels, souligne le Haut Commissariat dans un communiqué, faisant savoir que la production annuelle de poissons des eaux douces est estimée à 4000 tonnes.