
Aussi, et dans le but de lutter contre la pollution atmosphérique à Casablanca, plusieurs projets ont été réalisés ou sont en cours dans le cadre de partenariats. Ces projets touchent aussi bien l'évaluation de la qualité de l'air que des actions visant la lutte contre la pollution atmosphérique.
Cinq stations fixes de mesures ont été installées. Ce réseau sera renforcé davantage. A ce propos, une convention de partenariat pour l'amélioration de la qualité de l'air à Casablanca a été signée le 1er février 2005 entre le ministère de l'Aménagement du Territoire, de l'Eau et de l'Environnement, la Wilaya et la Région du Grand Casablanca.
Cette convention prévoit en particulier l'installation de nouvelles stations. La direction de la Météorologie nationale, le ministère de l'Intérieur, la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l'Environnement ainsi que d'autres partenaires sont également impliqués dans le projet.
Les résultats enregistrés montrent parfois des dépassements de certains aéro-polluants tels que le dioxyde de souffre au niveau de la zone industrielle de Aïn Sebaâ et l'ozone en période de forte chaleur.
Ces résultats ne peuvent être généralisés sur l'ensemble du territoire. Les cinq stations en activité actuellement donnent seulement des indications sur la qualité de l'air au voisinage immédiat des sites où elles sont installées.
Sur un autre registre, plusieurs actions de sensibilisation et de formation des acteurs concernés ainsi que des campagnes de vulgarisation en matière de réglementation relative à la pollution atmosphérique ont été réalisées.
Un inventaire des émissions des sources fixes et mobiles est également en cours de réalisation par les départements ministériels de l'Environnement et de l'Equipement et du Transport. L'objectif consiste à élaborer des plans d'actions visant à lutter contre la pollution atmosphérique à Casablanca.
Cinq stations fixes de mesures ont été installées. Ce réseau sera renforcé davantage. A ce propos, une convention de partenariat pour l'amélioration de la qualité de l'air à Casablanca a été signée le 1er février 2005 entre le ministère de l'Aménagement du Territoire, de l'Eau et de l'Environnement, la Wilaya et la Région du Grand Casablanca.
Cette convention prévoit en particulier l'installation de nouvelles stations. La direction de la Météorologie nationale, le ministère de l'Intérieur, la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l'Environnement ainsi que d'autres partenaires sont également impliqués dans le projet.
Les résultats enregistrés montrent parfois des dépassements de certains aéro-polluants tels que le dioxyde de souffre au niveau de la zone industrielle de Aïn Sebaâ et l'ozone en période de forte chaleur.
Ces résultats ne peuvent être généralisés sur l'ensemble du territoire. Les cinq stations en activité actuellement donnent seulement des indications sur la qualité de l'air au voisinage immédiat des sites où elles sont installées.
Sur un autre registre, plusieurs actions de sensibilisation et de formation des acteurs concernés ainsi que des campagnes de vulgarisation en matière de réglementation relative à la pollution atmosphérique ont été réalisées.
Un inventaire des émissions des sources fixes et mobiles est également en cours de réalisation par les départements ministériels de l'Environnement et de l'Equipement et du Transport. L'objectif consiste à élaborer des plans d'actions visant à lutter contre la pollution atmosphérique à Casablanca.