Les tomates réduire le risque de cancer ?!
De nombreuses études affirment qu'il y a une relation entre la consommation de tomates riches en lycopène, un anti-oxydant, et une diminution du risque de certains cancers.
"Il n'y a pas d'indication solide" montrant que le lycopène abaisse le risque de cancer du poumon, du sein, de colon et du col de l'utérus, conclut le Dr Claudine Kavanaugh, du Centre de sécurité alimentaire et de nutrition appliquée de la FDA (Food and Drug Administration), principal auteur de ce rapport.
Ce médecin a, toutefois, dit avoir noté "des indications scientifiques préliminaires très limitées" selon lesquelles le lycopène pourrait contribuer à diminuer les risques de cancer de la prostate, de l'estomac, des ovaires et du pancréas.
"Bien qu'il pourrait être prématuré de dire avec certitude qu'une consommation accrue de tomate ou de lycopène pris sous forme de complément alimentaire empêcherait le cancer de la prostate, ce champ de recherche reste prometteur", estime le Dr Edward Giovannucci de la Faculté de médecine de Harvard (Massachusetts, nord-est).
Il explique qu'aujourd'hui un grand nombre de cancers de la prostate sont dépistés très tôt grâce au test sanguin PSA qui mesure une substance produite par la glande.
Or les études ayant montré un effet préventif du lycopène ou des tomates contre le cancer de la prostate avaient été conduites avant que le test PSA (prostate-specific antigen) soit largement utilisé, souligne le Dr Giovannucci.
"Il n'y a pas d'indication solide" montrant que le lycopène abaisse le risque de cancer du poumon, du sein, de colon et du col de l'utérus, conclut le Dr Claudine Kavanaugh, du Centre de sécurité alimentaire et de nutrition appliquée de la FDA (Food and Drug Administration), principal auteur de ce rapport.
Ce médecin a, toutefois, dit avoir noté "des indications scientifiques préliminaires très limitées" selon lesquelles le lycopène pourrait contribuer à diminuer les risques de cancer de la prostate, de l'estomac, des ovaires et du pancréas.
"Bien qu'il pourrait être prématuré de dire avec certitude qu'une consommation accrue de tomate ou de lycopène pris sous forme de complément alimentaire empêcherait le cancer de la prostate, ce champ de recherche reste prometteur", estime le Dr Edward Giovannucci de la Faculté de médecine de Harvard (Massachusetts, nord-est).
Il explique qu'aujourd'hui un grand nombre de cancers de la prostate sont dépistés très tôt grâce au test sanguin PSA qui mesure une substance produite par la glande.
Or les études ayant montré un effet préventif du lycopène ou des tomates contre le cancer de la prostate avaient été conduites avant que le test PSA (prostate-specific antigen) soit largement utilisé, souligne le Dr Giovannucci.