
Le logo du World Wild Fund (wwf)
Un retard de ces décisions exposerait la planète à un dangereux réchauffement dans un demi-siècle ou obligerait à prendre des mesures plus dures et plus coûteuses qui pourraient provoquer des dommages significatifs à l'économie mondiale, a affirmé le WWF International dans un rapport technique.
"La question pour les dirigeants et les gouvernements partout dans le monde est comment freiner des niveaux dangereusement élevés d'émissions de dioxyde de carbone sans ralentir le développement et réduire le niveau de vie", a déclaré le directeur général du WWF James Leape.
"Nous disposons d'une petite fenêtre de temps dans les cinq prochaines années pendant laquelle nous pouvons planter les graines du changement. Nous ne pouvons pas nous permettre de les gaspiller", a-t-il ajouté.
Les conséquences les plus désastreuses peuvent être évitées grâce aux technologies modernes, à des mesures de conservation de l'énergie et de nouvelles sources d'énergie. Cependant, les décisions économiques et politiques actuelles sont toujours "sur une voie différente et dangereuse", a relevé le rapport.
Le rapport propose six solutions phares, y compris une meilleure utilisation de l'énergie, l'arrêt de la déforestation, un développement accéléré des technologies produisant de faibles émissions, comme l'énergie éolienne ou solaire, et le stockage de l'énergie, en remplaçant des centrales électriques fonctionnant au charbon par du gaz et du carbone conservé.
Ces méthodes permettraient de réduire les émissions de dioxyde de carbone de 60 à 80% d'ici 2050 si elles sont employées à temps.
Intitulé "Les solutions pour le climat: la vision du WWF pour 2050", le rapport a été écrit par un groupe incluant 100 scientifiques et des experts sur le climat.
Le WWF reconnaît que des changements aussi importants que mettre fin à la domination énergétique du pétrole et du charbon, supprimer graduellement l'énergie nucléaire et augmenter rapidement l'utilisation des biocarburants pourraient provoquer des bouleversements sociaux, environnementaux et économiques s'ils sont mal gérés.
Un rapport publié cette année par le Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (Giec) a souligné que les efforts pour stabiliser le niveau des gaz à effet de serre dans les 20 ou 30 prochaines années seront cruciaux pour lutter contre le réchauffement climatique.
"La question pour les dirigeants et les gouvernements partout dans le monde est comment freiner des niveaux dangereusement élevés d'émissions de dioxyde de carbone sans ralentir le développement et réduire le niveau de vie", a déclaré le directeur général du WWF James Leape.
"Nous disposons d'une petite fenêtre de temps dans les cinq prochaines années pendant laquelle nous pouvons planter les graines du changement. Nous ne pouvons pas nous permettre de les gaspiller", a-t-il ajouté.
Les conséquences les plus désastreuses peuvent être évitées grâce aux technologies modernes, à des mesures de conservation de l'énergie et de nouvelles sources d'énergie. Cependant, les décisions économiques et politiques actuelles sont toujours "sur une voie différente et dangereuse", a relevé le rapport.
Le rapport propose six solutions phares, y compris une meilleure utilisation de l'énergie, l'arrêt de la déforestation, un développement accéléré des technologies produisant de faibles émissions, comme l'énergie éolienne ou solaire, et le stockage de l'énergie, en remplaçant des centrales électriques fonctionnant au charbon par du gaz et du carbone conservé.
Ces méthodes permettraient de réduire les émissions de dioxyde de carbone de 60 à 80% d'ici 2050 si elles sont employées à temps.
Intitulé "Les solutions pour le climat: la vision du WWF pour 2050", le rapport a été écrit par un groupe incluant 100 scientifiques et des experts sur le climat.
Le WWF reconnaît que des changements aussi importants que mettre fin à la domination énergétique du pétrole et du charbon, supprimer graduellement l'énergie nucléaire et augmenter rapidement l'utilisation des biocarburants pourraient provoquer des bouleversements sociaux, environnementaux et économiques s'ils sont mal gérés.
Un rapport publié cette année par le Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (Giec) a souligné que les efforts pour stabiliser le niveau des gaz à effet de serre dans les 20 ou 30 prochaines années seront cruciaux pour lutter contre le réchauffement climatique.