
Intervenant lors d'une rencontre sur la "valorisation cynégétique de la grande faune au Maroc", M. Jader, a souligné que le HCEFLD s'est lancé dans une véritable politique de conservation et de réhabilitation de la faune sauvage par la réintroduction d'espèces disparues (le cerf de berbérie, l'addax et l'Oryx) et la création de nouvelles réserves pour d'autres espèces encore présentes par de petits noyaux.
Le secrétaire général a relevé que certaines réserves, particulièrement celles clôturées, connaissent des effectifs excédentaires d'animaux, soulignant que le Haut commissariat adopte une politique reposant sur le transfert des effectifs excédentaires, estimés à plus de 3.000 individus, vers des sites favorables en milieu naturel.
Le Maroc compte une dizaine de parcs nationaux et 146 réserves naturelles et biologiques, selon le HCEFLD.
De son côté, l'ambassadeur de la république tchèque à Rabat, Mme Eleonora Urbanova a salué, dans une déclaration à la presse, la collaboration de "longue date" dans le domaine de l'environnement entre son pays et le Maroc la qualifiant de "très fructueuse".
Le HCEFLD a initié un projet pilote à Tarmilet, région d'Oulmès (Province de Khémisset), en vue de la valorisation cynégétique des populations de mouflons à manchettes.
Le projet "gestion cynégétique durable pour une meilleure conservation et valorisation des ressources naturelles au Maroc", réalisé avec le soutien de la République Tchèque et appuyé par l'organisation des nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), vise à définir un programme de gestion durable de la chasse, à intégrer l'outil informatique à l'activité cynégétique et à mettre en valeur des espèces par l'exploitation des trophées.
Cette rencontre s'inscrit dans le cadre de la mise en oeuvre du projet de gestion cynégétique durable pour une meilleure conservation et valorisation des ressources naturelles.
Entrepris en collaboration avec la FAO, il vise à mener une réflexion sur les voies de mise en valeur des espaces accueillant la grande faune sauvage à travers la chasse et l'écotourisme.
Le secrétaire général a relevé que certaines réserves, particulièrement celles clôturées, connaissent des effectifs excédentaires d'animaux, soulignant que le Haut commissariat adopte une politique reposant sur le transfert des effectifs excédentaires, estimés à plus de 3.000 individus, vers des sites favorables en milieu naturel.
Le Maroc compte une dizaine de parcs nationaux et 146 réserves naturelles et biologiques, selon le HCEFLD.
De son côté, l'ambassadeur de la république tchèque à Rabat, Mme Eleonora Urbanova a salué, dans une déclaration à la presse, la collaboration de "longue date" dans le domaine de l'environnement entre son pays et le Maroc la qualifiant de "très fructueuse".
Le HCEFLD a initié un projet pilote à Tarmilet, région d'Oulmès (Province de Khémisset), en vue de la valorisation cynégétique des populations de mouflons à manchettes.
Le projet "gestion cynégétique durable pour une meilleure conservation et valorisation des ressources naturelles au Maroc", réalisé avec le soutien de la République Tchèque et appuyé par l'organisation des nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), vise à définir un programme de gestion durable de la chasse, à intégrer l'outil informatique à l'activité cynégétique et à mettre en valeur des espèces par l'exploitation des trophées.
Cette rencontre s'inscrit dans le cadre de la mise en oeuvre du projet de gestion cynégétique durable pour une meilleure conservation et valorisation des ressources naturelles.
Entrepris en collaboration avec la FAO, il vise à mener une réflexion sur les voies de mise en valeur des espaces accueillant la grande faune sauvage à travers la chasse et l'écotourisme.