
Il existe environ 500 espèces de plantes aromatiques et médicinales au Maroc
Intervenant lors de l'ouverture d'un atelier, organisé par son département en collaboration avec l'Agence américaine pour le développement international (USAID) sous le thème "la valorisation des PAM : stratégie nationale commune du secteur " M. Jader a souligné l'importance d'une gestion responsable des écosystèmes à PAM, principalement dans les zones arides et sahariennes.
Il s'agit d'un impératif pour la lutte contre la désertification, a-t-il ajouté lors de cette rencontre qui marque, selon lui, "un pas de plus sur le chemin de la gestion responsable des ressources naturelles, leur pérennisation et leur valorisation".
Rappelant que la démarche de son département pour la gestion des ressources forestières puise ses fondements dans l'appui au développement humain des usagers en tenant compte des impératifs de développement durable de ces ressources, M. Jader a indiqué que la stratégie mise en place dans le domaine des plantes aromatiques et médicinales procède de la gestion des terroirs devant faire l'objet de plans d'aménagement, visant la lutte contre la désertification et la gestion durable des filières d'amont en aval, de manière à favoriser la création de la valeur ajoutée aussi bien au niveau local que national.
Les actions entreprises dans ce sens, a-t-il précisé, sont axées sur le développement de partenariats pour la conservation, la promotion et la valorisation optimale des ressources, la contribution à l'organisation des filières et la mobilisation de tous les opérateurs au profit du développement local, "garant de l'atteinte des objectifs écologiques et économiques assignés au secteur des PAM".
Parmi les principales réalisations enregistrées à ce niveau, M. Jader a cité la réalisation d'une cartographie des peuplements des plantes aromatiques et médicinales, la conclusion de contrats de partenariats aussi bien avec les usagers qu'avec les opérateurs privés pour l'intégration de la filière et la mise en oeuvre d'un programme de recherche-développement répondant aux besoins prioritaires en matière de connaissance scientifiques et techniques du secteur.
Pour sa part, M. Jim May, représentant de l'USAID au Maroc, a mis l'accent sur l'intérêt que porte le gouvernement américain à la mise à niveau du secteur des PAM au Maroc à travers l'assistance technique au volet agricole de l'accord de libre échange conclu entre les deux pays, notant que le projet "Partenariats agricoles pour la productivité et la prospérité" (AP3), financé par l'agence américaine, s'inscrit dans ce cadre sens.
Evoquant le plan d'action de l'USAID au Maroc, M. May a indiqué qu'il vise notamment à concevoir et mettre en oeuvre une stratégie globale de transformation de l'agriculture marocaine en un système "hautement concurrentiel, efficient et à la fois productif et durable sur le plan environnemental".
Il s'agit également de faciliter les réformes des systèmes de commercialisation, de contribuer à l'amélioration de la compétitivité des industries agro-alimentaires et d'assister les entreprises, les associations professionnelles existantes et autres entités du secteur privé pour mieux défendre leurs intérêts, a-t-il poursuivi.
Et d'ajouter qu'il est aussi question dans le cadre de ce plan d'action d'aider le gouvernement marocain à développer et réaliser sa stratégie de réforme ciblant les cultures niches, dont les plantes aromatiques et médicinales.
Cette rencontre, qui sera marquée par la présentation du projet AP3, ambitionne d'établir un programme d'action pour l'intégration et le renforcement des stratégies de développement de la filière des PAM déjà existantes.
Les travaux de l'atelier sont axés autour de plusieurs thèmes, dont le développement durable du secteur des PAM, la situation de ce secteur au Maroc, l'importance de la formation et de la valorisation des PAM et leurs impacts sur l'emploi, en plus des standards internationaux de collecte de ces plantes.
Il s'agit d'un impératif pour la lutte contre la désertification, a-t-il ajouté lors de cette rencontre qui marque, selon lui, "un pas de plus sur le chemin de la gestion responsable des ressources naturelles, leur pérennisation et leur valorisation".
Rappelant que la démarche de son département pour la gestion des ressources forestières puise ses fondements dans l'appui au développement humain des usagers en tenant compte des impératifs de développement durable de ces ressources, M. Jader a indiqué que la stratégie mise en place dans le domaine des plantes aromatiques et médicinales procède de la gestion des terroirs devant faire l'objet de plans d'aménagement, visant la lutte contre la désertification et la gestion durable des filières d'amont en aval, de manière à favoriser la création de la valeur ajoutée aussi bien au niveau local que national.
Les actions entreprises dans ce sens, a-t-il précisé, sont axées sur le développement de partenariats pour la conservation, la promotion et la valorisation optimale des ressources, la contribution à l'organisation des filières et la mobilisation de tous les opérateurs au profit du développement local, "garant de l'atteinte des objectifs écologiques et économiques assignés au secteur des PAM".
Parmi les principales réalisations enregistrées à ce niveau, M. Jader a cité la réalisation d'une cartographie des peuplements des plantes aromatiques et médicinales, la conclusion de contrats de partenariats aussi bien avec les usagers qu'avec les opérateurs privés pour l'intégration de la filière et la mise en oeuvre d'un programme de recherche-développement répondant aux besoins prioritaires en matière de connaissance scientifiques et techniques du secteur.
Pour sa part, M. Jim May, représentant de l'USAID au Maroc, a mis l'accent sur l'intérêt que porte le gouvernement américain à la mise à niveau du secteur des PAM au Maroc à travers l'assistance technique au volet agricole de l'accord de libre échange conclu entre les deux pays, notant que le projet "Partenariats agricoles pour la productivité et la prospérité" (AP3), financé par l'agence américaine, s'inscrit dans ce cadre sens.
Evoquant le plan d'action de l'USAID au Maroc, M. May a indiqué qu'il vise notamment à concevoir et mettre en oeuvre une stratégie globale de transformation de l'agriculture marocaine en un système "hautement concurrentiel, efficient et à la fois productif et durable sur le plan environnemental".
Il s'agit également de faciliter les réformes des systèmes de commercialisation, de contribuer à l'amélioration de la compétitivité des industries agro-alimentaires et d'assister les entreprises, les associations professionnelles existantes et autres entités du secteur privé pour mieux défendre leurs intérêts, a-t-il poursuivi.
Et d'ajouter qu'il est aussi question dans le cadre de ce plan d'action d'aider le gouvernement marocain à développer et réaliser sa stratégie de réforme ciblant les cultures niches, dont les plantes aromatiques et médicinales.
Cette rencontre, qui sera marquée par la présentation du projet AP3, ambitionne d'établir un programme d'action pour l'intégration et le renforcement des stratégies de développement de la filière des PAM déjà existantes.
Les travaux de l'atelier sont axés autour de plusieurs thèmes, dont le développement durable du secteur des PAM, la situation de ce secteur au Maroc, l'importance de la formation et de la valorisation des PAM et leurs impacts sur l'emploi, en plus des standards internationaux de collecte de ces plantes.