Oeuvre de Khaled Achâari
Cette exposition, initiée par le Consulat du Maroc à Palerme en collaboration avec les ministères régionaux siciliens de l'Environnement et des Affaires sociales, comprend 31 photographies de grand format (1m/1.50m).
La cérémonie de vernissage s'est déroulée en présence de plusieurs responsables régionaux, provinciaux et locaux et une pléiade d'artistes.
Intervenant à cette occasion, le Consul général du Maroc, M. Youssef Bella a indiqué que les oeuvres de Khalid Achâari suscite la curiosité, précisant que "ces photos nous poussent à porter un autre regard sur des choses que l'on côtoie quotidiennement sans que l'on se rende compte qu'ils renferment un immense potentiel d'expression artistique".
Pour l'écrivain Edmond Amrane El Maleh, en "l'absence de toute figuration, ce travail s'assimilent parfaitement à ceux de la peinture abstraite et donc demande à être traité comme tel ", peut -on lire dans le catalogue de présentation de cette exposition.
L'artiste Farid Zahi écrit dans le même catalogue que cette expérience des traces a su restituer des fragments d'écorces, de fenêtres, de pas sur le sable et de restes d'affiches sur les murs.
"L'approche est originale. Elle décontextualise le vu pour le propulser dans l'anonymat, le défigurer pour le faire renaître comme paysage plastique" a-il noté.
Né en 1958, Khalid Achâari a exposé à titre individuel à Rabat, Casablanca, Marrakech, Fès, Beni Mellal et El Jadida. Son actif compte aussi une exposition collective à Madrid.
La cérémonie de vernissage s'est déroulée en présence de plusieurs responsables régionaux, provinciaux et locaux et une pléiade d'artistes.
Intervenant à cette occasion, le Consul général du Maroc, M. Youssef Bella a indiqué que les oeuvres de Khalid Achâari suscite la curiosité, précisant que "ces photos nous poussent à porter un autre regard sur des choses que l'on côtoie quotidiennement sans que l'on se rende compte qu'ils renferment un immense potentiel d'expression artistique".
Pour l'écrivain Edmond Amrane El Maleh, en "l'absence de toute figuration, ce travail s'assimilent parfaitement à ceux de la peinture abstraite et donc demande à être traité comme tel ", peut -on lire dans le catalogue de présentation de cette exposition.
L'artiste Farid Zahi écrit dans le même catalogue que cette expérience des traces a su restituer des fragments d'écorces, de fenêtres, de pas sur le sable et de restes d'affiches sur les murs.
"L'approche est originale. Elle décontextualise le vu pour le propulser dans l'anonymat, le défigurer pour le faire renaître comme paysage plastique" a-il noté.
Né en 1958, Khalid Achâari a exposé à titre individuel à Rabat, Casablanca, Marrakech, Fès, Beni Mellal et El Jadida. Son actif compte aussi une exposition collective à Madrid.