Le Parfumeur
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Quand les précipitations et les ressources hydriques se font rares
Depuis le retour de ces provinces sahariennes à la mère patrie en 1975, l'Office national de l'eau potable a entrepris des investissements colossaux d'un montant global de près de 1,60 milliard de dirhams, en vue de pallier le déficit en infrastructures hydrauliques, de raccorder les différents centres et agglomérations du sud au réseau d'alimentation en eau potable et de répondre aux besoins des populations en cette denrée vitale.
Ces investissements ont permis, entre autres, de doter les villes de Laâyoune et Boujdour d'unités de dessalement de l'eau de mer avec des capacités de production respectives de 13000 m3/j et 2600 m3/j, et de réaliser le projet d'alimentation en eau potable de la ville de Smara à partir du champ captant de Sidi El Khattari pour une capacité de production de 3500 m3/j, ainsi que des centaines de forages qui ont permis de satisfaire les besoins des populations en eau potable.
La station de dessalement d'eau saumâtre de Tarfaya, d'une capacité de 800 m3/j, et la station de traitement de la ville de Dakhla, d'une capacité de 9500 m3/j, ont été mises en service respectivement en 2001 et 2004.
Ainsi, l'ONEP n'a pas lésiné sur les effort pour la réalisation de nombreuses infrastructures dont des stations de traitement des eaux de mer, des conduites d'eau et autres installations propres à faciliter l'approvisionnement en eau, à contribuer à l'amélioration des conditions de vie des citoyens et à réaliser un véritable bond en matière de développement économique et social.
L'ONEP avait procédé dans ce sens à l'élaboration d'un programme à court et moyen terme portant sur la réalisation de nombreux projets pour la généralisation de la desserte en eau potable des habitants des centres urbains et ruraux dans les provinces du sud.
Parmi les projets programmés dans ce secteur vital, figure notamment un projet d'extension de la station de dessalement de Laâyoune (la première de toute l'Afrique) afin d'augmenter le débit de production pour atteindre 26 mille m3/j, a déclaré à la MAP le directeur régional de l'ONEP dans les provinces du sud, M. Abdessalam Jolid.
M. Jolid a rappelé qu'un projet est actuellement en cours de réalisation pour le renforcement des ouvrages de production de la station de déminéralisation de Sidi Khatari qui assure la desserte de la ville de Smara en eau potable, pour un coût global de 185 millions de dirhams.
S'agissant du monde rural, l'ONEP a mis en exécution un projet pour l'alimentation en eau potable de la commune de Tah à partir de la station de traitement des eaux de mer à Tarfaya pour un montant global de 20 millions de dirhams.
Deux autres stations de dessalement des eaux de mer sont en cours de réalisation dans les villages de pêcheurs d'Agti Al Ghazi à Boujdour et Lamhiriz dans la province d'Ousserd pour un investissement global de près de 15 millions de dirhams.
L'office a également consacré une enveloppe budgétaire de 10 millions de dirhams pour la réalisation d'un projet portant sur la construction d'une station de traitement des eaux de mer pour l'alimentation en eau potable de la commune de Daoura.
L'Office prévoit également la réalisation d'une station de dessalement à Akhfenir avec une capacité de production de 8000 m3/j et des installations de distribution pour un montant global de près de 40 millions de dirhams, outre l'installation à Tarouma d'un canal de conduite longue de 25 km à partir de la station de dessalement de Laâyoune pour un montant de 16 millions de dirhams.
Actuellement, les villes de Laâyoune, El Mersa, Smara, Sidi Ahmed Laaroussi, Boujdour, Dakhla, Tarfaya et centre de Foum El Oued sont alimentés exclusivement en eau douce par des réseaux de distribution, soit un taux d'accès à l'eau potable de l'ordre de 90 pc.
Dans cette région, l'ONEP s'est fixée, en effet, comme axes stratégiques de généraliser l'accès à l'eau potable, notamment en milieu rural, de pérenniser et sécuriser les installations existantes d'eau potable et d'intervenir activement dans le domaine de l'assainissement liquide pour la protection des ressources en eaux et l'amélioration des conditions sanitaires des populations.
Ainsi, les investissements réalisés dans le secteur de l'eau dans les vastes étendues désertiques des provinces sahariennes ont permis de satisfaire les besoins en eau à moyen et à long terme des villes et centres du sud et aux populations locales d'aborder l'avenir avec sérénité et confiance.
Ces investissements ont permis, entre autres, de doter les villes de Laâyoune et Boujdour d'unités de dessalement de l'eau de mer avec des capacités de production respectives de 13000 m3/j et 2600 m3/j, et de réaliser le projet d'alimentation en eau potable de la ville de Smara à partir du champ captant de Sidi El Khattari pour une capacité de production de 3500 m3/j, ainsi que des centaines de forages qui ont permis de satisfaire les besoins des populations en eau potable.
La station de dessalement d'eau saumâtre de Tarfaya, d'une capacité de 800 m3/j, et la station de traitement de la ville de Dakhla, d'une capacité de 9500 m3/j, ont été mises en service respectivement en 2001 et 2004.
Ainsi, l'ONEP n'a pas lésiné sur les effort pour la réalisation de nombreuses infrastructures dont des stations de traitement des eaux de mer, des conduites d'eau et autres installations propres à faciliter l'approvisionnement en eau, à contribuer à l'amélioration des conditions de vie des citoyens et à réaliser un véritable bond en matière de développement économique et social.
L'ONEP avait procédé dans ce sens à l'élaboration d'un programme à court et moyen terme portant sur la réalisation de nombreux projets pour la généralisation de la desserte en eau potable des habitants des centres urbains et ruraux dans les provinces du sud.
Parmi les projets programmés dans ce secteur vital, figure notamment un projet d'extension de la station de dessalement de Laâyoune (la première de toute l'Afrique) afin d'augmenter le débit de production pour atteindre 26 mille m3/j, a déclaré à la MAP le directeur régional de l'ONEP dans les provinces du sud, M. Abdessalam Jolid.
M. Jolid a rappelé qu'un projet est actuellement en cours de réalisation pour le renforcement des ouvrages de production de la station de déminéralisation de Sidi Khatari qui assure la desserte de la ville de Smara en eau potable, pour un coût global de 185 millions de dirhams.
S'agissant du monde rural, l'ONEP a mis en exécution un projet pour l'alimentation en eau potable de la commune de Tah à partir de la station de traitement des eaux de mer à Tarfaya pour un montant global de 20 millions de dirhams.
Deux autres stations de dessalement des eaux de mer sont en cours de réalisation dans les villages de pêcheurs d'Agti Al Ghazi à Boujdour et Lamhiriz dans la province d'Ousserd pour un investissement global de près de 15 millions de dirhams.
L'office a également consacré une enveloppe budgétaire de 10 millions de dirhams pour la réalisation d'un projet portant sur la construction d'une station de traitement des eaux de mer pour l'alimentation en eau potable de la commune de Daoura.
L'Office prévoit également la réalisation d'une station de dessalement à Akhfenir avec une capacité de production de 8000 m3/j et des installations de distribution pour un montant global de près de 40 millions de dirhams, outre l'installation à Tarouma d'un canal de conduite longue de 25 km à partir de la station de dessalement de Laâyoune pour un montant de 16 millions de dirhams.
Actuellement, les villes de Laâyoune, El Mersa, Smara, Sidi Ahmed Laaroussi, Boujdour, Dakhla, Tarfaya et centre de Foum El Oued sont alimentés exclusivement en eau douce par des réseaux de distribution, soit un taux d'accès à l'eau potable de l'ordre de 90 pc.
Dans cette région, l'ONEP s'est fixée, en effet, comme axes stratégiques de généraliser l'accès à l'eau potable, notamment en milieu rural, de pérenniser et sécuriser les installations existantes d'eau potable et d'intervenir activement dans le domaine de l'assainissement liquide pour la protection des ressources en eaux et l'amélioration des conditions sanitaires des populations.
Ainsi, les investissements réalisés dans le secteur de l'eau dans les vastes étendues désertiques des provinces sahariennes ont permis de satisfaire les besoins en eau à moyen et à long terme des villes et centres du sud et aux populations locales d'aborder l'avenir avec sérénité et confiance.
