Organisée en collaboration avec "InWEnt-Capacity Building International" (Renforcement des capacités et développement international) et l'Office national de l'eau potable (Onep), cet atelier portera sur plusieurs thèmes notamment "Le rôle des femmes dans la gestion de l'eau : Moyens et non fins", "Situation dans la région Mena : les activités actuelles de renforcement des capacités, leçons tirées, limitations et opportunités" et "Programmes et mécanismes pour renforcer les capacités des femmes dans les secteurs de l'eau dans les organisations internationales".
Les participant à cette rencontre, dont des experts internationaux de l'InWEnt, de l'Unesco, de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et de la Banque mondiale, débattront aussi de sujets portant sur "La réalisation des rôles plus efficaces pour les femmes dans la gestion de l'eau" et "L'élaboration d'une feuille de route pour la mise en place d'un réseau régional fonctionnel".
Cet atelier regroupera des professionnels provenant de plusieurs pays notamment l'Algérie, l'Egypte, la Jordanie, le Liban, la Mauritanie, la Tunisie, le Yémen et le Maroc qui échangeront leurs expériences dans la perspective de la mise en place de stratégies visant à renforcer les capacités des femmes dans le domaine de la gestion de l'eau, tout en tenant compte des défis spécifiques liés au monde arabe.
Selon les organisateurs, cette manifestation, qui mettra l'accent sur une participation plus efficace des femmes dans les efforts de développement en matière d'eau, "travaillera à traduire des paradigmes en des actions concrètes et des mécanismes précis pour s'assurer que les capacités des femmes soient renforcées, leurs voix entendues à tous les niveaux et surtout que leurs qualifications professionnelles soient reconnues et bien utilisées par les institutions de l'eau".
Les objectifs de cette rencontre internationale consiste principalement à comprendre la situation dans chacun des pays participants au sujet du "rôle des femmes dans la gestion de l'eau, profiter des leçons apprises, mettre en exergue les opportunités et identifier les limitations qui peuvent être surmontées par le renforcement des capacités et le transfert des technologies et de meilleures pratiques".
Elle vise également à définir les moyens de contribuer à la gestion efficace de l'eau et évaluer la pertinence des politiques d'action affirmative et des "lois de discrimination positive" qui ambitionnent d'encourager la participation des femmes notamment en leur octroyant des prix, en leur facilitant l'accès aux micro crédits et en instaurant un système de quotas.
Les participant à cette rencontre, dont des experts internationaux de l'InWEnt, de l'Unesco, de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et de la Banque mondiale, débattront aussi de sujets portant sur "La réalisation des rôles plus efficaces pour les femmes dans la gestion de l'eau" et "L'élaboration d'une feuille de route pour la mise en place d'un réseau régional fonctionnel".
Cet atelier regroupera des professionnels provenant de plusieurs pays notamment l'Algérie, l'Egypte, la Jordanie, le Liban, la Mauritanie, la Tunisie, le Yémen et le Maroc qui échangeront leurs expériences dans la perspective de la mise en place de stratégies visant à renforcer les capacités des femmes dans le domaine de la gestion de l'eau, tout en tenant compte des défis spécifiques liés au monde arabe.
Selon les organisateurs, cette manifestation, qui mettra l'accent sur une participation plus efficace des femmes dans les efforts de développement en matière d'eau, "travaillera à traduire des paradigmes en des actions concrètes et des mécanismes précis pour s'assurer que les capacités des femmes soient renforcées, leurs voix entendues à tous les niveaux et surtout que leurs qualifications professionnelles soient reconnues et bien utilisées par les institutions de l'eau".
Les objectifs de cette rencontre internationale consiste principalement à comprendre la situation dans chacun des pays participants au sujet du "rôle des femmes dans la gestion de l'eau, profiter des leçons apprises, mettre en exergue les opportunités et identifier les limitations qui peuvent être surmontées par le renforcement des capacités et le transfert des technologies et de meilleures pratiques".
Elle vise également à définir les moyens de contribuer à la gestion efficace de l'eau et évaluer la pertinence des politiques d'action affirmative et des "lois de discrimination positive" qui ambitionnent d'encourager la participation des femmes notamment en leur octroyant des prix, en leur facilitant l'accès aux micro crédits et en instaurant un système de quotas.